Kraken Black Spiced 70cl - 47°
Origine de la canne : Trinidad et Tobago
Le mot de Cave de France : Exclusivement réservé au réseau cavistes, ce Kraken sort des sentiers battus. Sa robe noire profonde évoque l'encre de la pieuvre. Sa bouche est épicée, ronde et veloutée, exhalant des arômes à dominante de vanille, mais aussi de clous de girofle, de gingembre, de muscade et de cannelle... Kraken se caractérise également par un bel équilibre entre puissance et complexité aromatique, autrement dit un ''spiced rum'' à la fois gourmand et subtil. Les amateurs de rhums bruns (de mélasse, de miel de canne ou de pur jus) seront envoûtés par ce Kraken original. A découvrir absolument !
Le mot de Kraken : Une bouteille victorienne reconnaissable entre toutes, une étiquette noire comme l’encre de la bête, The Kraken 47% vol. révèle toute son intensité pur ou en cocktail. The Kraken est élaboré à partir d’une recette unique de rhum produit dans les Caraïbes et associé à une sélection d’épices. Sa formule exacte reste un mystère jalousement gardé…
L'histoire du Kraken : Redoutable monstre marin, le Kraken est réputé pour être un briseur de navires, plongeant bateaux et marins dans l’obscurité impénétrable des profondeurs. Véritable terreur des équipages, la monstrueuse créature est aujourd’hui l’emblème d’une marque à la renommée internationale et à la progression tentaculaire : The Kraken Black Spiced.
Il a été établi qu’un navire, transportant plus de 400 hommes et une grande quantité de provisions, en provenance des Caraïbes, n’avait jamais atteint sa destination. D’après les témoignages, ce navire n’aurait plus donné signe de vie depuis le 13 janvier 1862. Pire, des habitants locaux, affirment avoir vu une bête gigantesque, dotée de multiples tentacules et de dents immenses, faire sombrer le dit navire.
Leurs dessins semblaient représenter un Kraken : un monstre colossal pouvant atteindre plus de 90 mètres de long. Il a également été indiqué que de nombreux débris avaient été retrouvés dispersés dans les eaux. Cela suggère clairement qu’il ne s’agissait pas d’un naufrage ordinaire causé par une simple mer agitée, mais au contraire que ce dernier ne pouvait avoir été provoqué que par une force bien plus grande...